Le violoncelliste Sung-Won Yang s’est produit dans le monde entier en tant que soliste et chambriste. Il a donné des concerts en solo et en musique de chambre dans des lieux prestigieux comme l’Alice Tully Hall au Lincoln Center à New York, la Salle Pleyel et le Théâtre des Champs Elysées à Paris, le Concertgebouw à Amsterdam, le Terrace Theatre au Kennedy Center à Washington DC, le Musikverein à Vienne, l’Opera City Hall de Tokyo, le Symphony Hall d’Osaka et le National Center for the Performing Arts de Pékin.

Ses récitals ont également conduit à d’autres grandes villes, telles que Londres, Rome, Francfort, Madrid, Prague, Helsinki, Boston, Seattle, Tel Aviv, Shanghai, Sydney et bien d’autres.

 

Alors qu’il est l’artiste exclusif d’EMI-Korea, son album entièrement consacré à Kodály a été « le choix de l’éditeur du mois » pour Gramophone Magazine, et « le choix de la critique de l’année » pour Gramophone Magazine au Royaume-Uni, nominé pour le meilleur album solo. aux Edison Awards aux Pays-Bas. Ses autres enregistrements pour EMI sont des œuvres de Rachmaninoff et Chopin, l’intégrale des suites de JS Bach pour violoncelle seul, et l’intégrale des Sonates et variations de Beethoven pour violoncelle et piano. Ces enregistrements ont tous reçu un grand accueil et succès auprès des mélomanes et des critiques.

Il enregistre pour Universal Music/Decca depuis 2009, ses enregistrements récents sont Dvorák Cello Concerto avec l’Orchestre philharmonique tchèque (Znedek Macal) et Trio Dumky (2010). Le trio « Archiduc » de Beethoven et l’Op. 70 No. 2, (2013) avec le trio Owon qu’il a formé avec le violoniste Olivier Charlier et le pianiste Emmanuel Strosser ; et l’intégrale des œuvres de Brahms et Schumann pour violoncelle et piano avec Enrico Pace (2014), l’intégrale du trio de Beethoven (Trio Owon 2015) Le 2e enregistrement de Sung-Won Yang des Suites de Bach pour violoncelle solo pour Universal Music/Decca (2017) œuvres complètes pour Violoncelle et piano de F. Lizst et Chopin Sonata avec le pianiste Enrico Pace.(2018) Ses enregistrements à venir sont les concertos d’Elgar et Schumann avec le London Symphony Orchestra avec Maestro Hans Graf ainsi que l’intégrale des œuvres de Beethoven pour violoncelle et piano avec Enrico Pace qui sortiront en 2022 et 2023.

 

Sung-Won Yang a collaboré avec de grands musiciens tels que Christoph Eschenbach, MyungWhun Chung, Peter Eötvös, Sawa Kazuki, avec des Orchestres tels que l’Orchestre de Paris, la Czech Philharmonie, Orchestre de la Radio Autrichienne(RFO) et la Seoul Philarmonic Orchestra, la KBS, Kyoto Symphony, parmi bien d’autres. France Musique, NHK (Japon), KBS (Corée) et de très nombreuses radios ont diffusé plusieurs de ses concerts en direct. 

 

Né en Corée, Sung-Won Yang est diplômé du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris et a été assistant de Janos Starker à l’Université d’Indiana aux États-Unis. Il est régulièrement invité à faire partie du jury de concours internationaux tels que le concours de quatuor à cordes à Banff au Canada, le concours d’André Navarra en France, le concours de Cassado au Japon et le concours de Tongyeong en Corée. Lauréat du titre de Chevalier des Arts et des Lettres par le gouvernement français, il est actuellement professeur de violoncelle à la School of Music Yonsei University de Séoul, professeur invité à la Royal Academy of Music (Londres), directeur artistique du Festival Beethoven à Beaune, en France, ainsi que du festival Music in PyeongChang.

 

Site web de Sung-Won Yang

 

…artiste accompli, au très beau son et au jeu lyrique et intense, sans aucune préciosité.

-The Sunday Times-

Seul un interprète tel que Sung-Won Yang, avec son brio technique et son engagement expressif, est capable de nous faire ressentir toute la grandeur des sonates pour violoncelle solo de Kodaly.

-Gramophone-

Sung-Won Yang a donné des interprétations pleines d’imagination, de brio technique et d’une grande justesse d’intonation. Les phrases ont été dessinées avec une grande maîtrise, la gamme des nuances était rendue avec un soin exquis et l’ensemble sonnait merveilleusement.

-Washington Post-